melhoun marocain

Publié le 31 Octobre 2008

http://img.over-blog.com/223x299/1/50/59/42/Mohamed-el-fassi/poete-moulay-Drissi-alami.jpg
En instance de réécriture....des erreurs et confusions étaient originellement mentionnées !
Appel à toute collaboration pour un article ou une biographie sur le sujet ! Je m'excuse des erreurs qui on pu mener des gens en confusion !

Idriss Ben Hassan Alami (en arabe : إدريس بن الحسن العلمي) est un poète et écrivain marocain de langue arabe. Il est né en 1887 et décèdé en 1962.

Il se lie d’amitié avec le maître EL Hadj Mohamed el Anka et lui offre sa plus célèbre qasida allah omssalli ala nbi ben kassem/taha chref lassem qui a été chantée également par Cheikh Boudjemaâ El Ankis Le chanteur chaâbi Cheikh Abdelkader Guessoum a chanté également une de ses qacida malhoun jamais interprétée avant lui Berredt echouaqi, classé dans le registre medh ou panégyrique, une louange au Prophète Mohamed (Salla allah alih wa salem)

Ce fervent défenseur de la langue arabe est également connu pour ses traductions littéraires de l’arabe vers le français. Il est auteur de plusieurs ouvrages relatifs à la langue arabe, et de sa terminologie. Il a légué plusieurs recueils de poèmes en arabe classique suivant les règles du Aroud, d’après l’école de Khalil ibnou Ahmed Al Farahidi.

Biographie

Idriss Al Alami fut père de huit enfants tous issus de son mariage avec sa cousine paternelle Khadija Bensouda. On note parmi ses enfants plusieurs médecins (un professeur en médecine neurochirurgien et écrivain-poète, une praticienne en médecine du travail, et médecin généraliste), un docteur en physique nucléaire, et un économiste.

 

Ses œuvres

Parmi ses œuvres poétiques publiées : cinq recueils de poèmes.

Sur le chemin de la liberté.
Avec Dieu ALLAH
Avec les fleurs de la vie
Le bonheur.
Sur la voie.

 

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #melhoun marocain, #poésie

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Publié le 19 Mai 2008

Souiri et Mohamed Ba'Jedoub
 

 

Mohamed Bajedoub (né à Safi au Maroc, en 1945) est un chanteur soufi marocain. Doté d'une voix puissante et chaleureuse, il est très apprécié dupublic marocain fasciné par les vibrations de ses cordes vocales. L'homme aura 67 ans (en 2012) et constitue une référence dans le monde de la musique traditionnelle marocaine.

Il est aujourd’hui le dépositaire d’un précieux héritage musical, dont il fait un généreux partage avec son public lors de ses concerts.

Bajeddoub est connu comme « le plus grand interprète du Malhoun et de la musique arabo-andalouse de style maghrebi », à travers une voix de ténor, chaude et énergique, étalée sur un tapis musical andalous.

Du Maroc à l'étranger, Mohamed Bajeddoub s’est bâti une notoriété qui fait aujourd’hui les beaux jours des que l'on peut écouter également dans les ruelles des médinas des villes impériales marocaines.

 

 

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Biographie

Très tôt attiré par les chants religieux et arabo-andalous, il entra en contact avec le chant pour la première fois dans des confréries soufies. C'est dans ces communauté qu'il découvrit le répertoire musical soufi et qu'il se l'appropria en lui donnant une interprétation avec des touches toutes personnelles.

Il a été également muezzin. En 1965, il devient disciple du cheikh Slaoui Sidi Saïd El Kadiri : ce dernier remarque son grand talent et le présente à Haj Diss Benjelloun, président de l'association des amateurs de musique andalouse au Maroc qui complète sa formation dans cet art délicat.

C'est dans une Zaouïa de cette ville que Mohamed Bajeddoub a commencé très jeune son apprentissage de l'art vocal à travers une pratique intense des chants religieux.

En 1961, il commence l'étude proprement dite du répertoire classique andalou, d'abord auprès du maître Feu Sidi Said Kadiri à Salé, puis auprès du maître Mohamed Tbayek à Marrakech.

En 1963, il rencontre Haj Driss Benjelloun, président de l'Association des Amis de la Musique Andalouse au Maroc, qui l'introduit ensuite auprès du maître de la musique andalouse, feu Haj Abdelkrim Raïs, qui l'encourage à poursuivre dans la voix du chant A Capella et du style Mawwâl (déclamation développée sur un poème d'improvisation modale). Abdelkrim Raïs qui dirigeait l'orchestre El-Brihi et engagea Haj Mohamed Bajedoub. Plongé dans ce nouveau répertoire, Bajedoub devint l'un de ses meilleurs interprètes. Après avoir dirigé le chœur durant des années, il se lança dans une carrière de chant solo.

Il a rejoint, en 1995, la formation Chabab Al Andalous tout en continuant à se produire en solo.

L'art du mawwâl est un album, enregistré en conditions "live", qui reflète le dialogue entre deux grandes voix marocaines qui explorent le mawwâl, une forme poétique chantée. Le résultat ne foisonne pas seulement d'exemples de joutes musicales et poétiques brillantes, mais invite à une sorte de voyage musical faisant la jonction entre la modalité andalouse des tubu et la modalité orientale des maqâmât. Les deux vocalistes Bajeddoub et Abderrahim Souiri offrent une interprétation magistrale en solo ou en duo, alterné et simultané, sur des extraits des plus beaux poèmes arabes inspirés de l'amour courtois et mystique.

Il a participé à un duo remarquable avec le chanteur sénégalais Musa Dieng Kala sur fonds de toile de musique soufie, en clôture de la 2e édition du Festival de Fès de la culture soufie, qui se tient sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI (17-23 avril 2008). Après une tournée triomphale au Mexique, Haj Mohamed Bajedoub, accompagné de l'orchestre Chabab Al Andalous a fait salle comble, le vendredi 17 octobre 2008 au Palais des beaux arts à Bruxelles.

Mohamed Bajeddoub et le ténor Fouad Zbadi accompagnés par la troupe Chabab al-Andalus, dirigée par Amine Debbi, présentent le spectacle “Volutes et poésie” les 14 et 15 novembre 2008 à l’Institut du Monde Arabe de Paris.

 

 

Borda - hadj bajedoub

Born in Safi in Morocco in 1945, Mohamed Bajeddoub began his apprenticeship into the vocal arts at a Zawiya there at a young age, learning religious songs. In 1961 he started his studies in classical Andalus music, first with the master Sidi Said Kadiri in Salé and then with the master Mohamed Tbayek in Marrakech.

In 1963 he met Haj Driss Benjelloun, president of the Association des Amis de la Musique Andalouse in Morocco , who in turn introduced him to the master of Andalus music, Haj Abdekrom Ra ïs. It was Raïs who encouraged him to pursue his talent in a capella singing and the Maoual style of modal improvisation.

Blessed with a warm and powerful voice, Mohamed Ba Jeddoub is very much appreciated by the Moroccan public.

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