drogue

Publié le 4 Juin 2021

Réalisation : Thierry Gaytan Patrick Spica Productions

 

Ils sont jeunes et rêvent d'argent facile : de plus en plus de Français tombent dans le piège du trafic de cocaïne, directement recrutés chez nous par les cartels sud-américains. Leur nouvelle destination : le Pérou où la drogue se négocie 20% moins cher qu'en Colombie. Seulement pour ces Français le voyage s'arrête souvent à l'aéroport et ils finissent en prison. Peine minimum : huit ans de détention.

À Lima, Alain, Mickaël et Vincent sont détenus à Santa Clarita, l'établissement le plus surpeuplé de la capitale. Trafics, petits boulots, rackets : quelles sont les règles pour survivre dans une prison hors normes où l'argent fait la loi ? Parmi ces nouveaux passeurs européens, de plus en plus de femmes, souvent enceintes pour passer inaperçues. Lucie, recrutée à Metz pour 5 000 euros, a vu son destin se briser.

Pour éviter que les détenues ne sombrent dans la dépression, la prison pour femmes multiplie les activités. Mais les cours de stretching, les concours de beauté et la crèche des enfants suffisent-il à surmonter le choc carcéral ? Nous avons suivis durant une année ces détenus et leurs familles. Qui sont ces Français qui ont pris le risque de gagner de l'argent grâce à la drogue ?

Quel prix payent-ils aujourd’hui ?

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Pérou, #Drogue

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Publié le 17 Septembre 2020

Les cartels de la drogue opèrent dans de nombreux pays à travers l'Amérique latine dont le Mexique, l'Amérique centrale, et en Afghanistan, en Asie du Sud. Ils sont la cause de la violence criminelle extrême et de milliers de meurtres, particulièrement le long de la frontière entre les États-Unis et le Mexique.


Célida Teresa López Cárdenas, maire d'Hermosillo, Sonroa, a souligné que les trafiquants de drogue devraient être fusillés au Mexique "comme cela se produit dans d'autres pays du monde", car ils sont des traîtres à la patrie.

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Publié dans #Célida Teresa López Cárdenas, #Politique, #Drogue, #Mexique, #2020, #Hermosillo, #Celida Teresa Lopez Cardenas

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Publié le 20 Mai 2020

Tout ce qui est rare est cher dit le sophisme des libéraux. Autrement dit. la disponibilité en baisse fait monter les prix. Les acteurs du crime organisé exploitent la situation afin de renforcer leur image auprès de la population en fournissant des services, en particulier aux personnes vulnérables. Les trafics ont été fortement touchés et on estime qu'ils ont diminué de 30 à 40%.

Le coronavirus conduit à une pénurie de drogue.

Comment le coronavirus chamboule le trafic de drogue ?

La production et la distribution de cocaïne semblent être perturbées dans les pays producteurs d'Amérique latine, tandis que la pénurie d'héroïne en Europe et en Amérique du Nord. Le ralentissement économique causé par la pandémie a le potentiel de conduire à une transformation profonde et durable des marchés de la drogue.

Routes d'approvisionnement coupées pour le cannabis en provenance du Maroc, raréfaction du consommateur confiné, points de deal fermés, vols entre la Guyane et la métropole supprimés pour les mules transportant de la cocaïne : ces jours du confinement ont eu des conséquences sévères sur un secteur dont le chiffre d'affaires annuel est estimé, au bas mot, à 3 milliards d'euros

Hausse de la demande de cannabis

La Belgique reste une des plaques tournantes du trafic de drogues en Europe, notamment pour la cocaïne transitant par le port d’Anvers. La barrette de cannabis vendue 15-20 euros en temps normal pouvait parfois atteindre les 40 euros. Cela entraîne inexorablement une baisse générale de la consommation, mais principalement des drogues consommées dans les environnements récréatifs. Cette brusque contraction du marché s'est par ailleurs accompagnée de son lot de violences, sur fond de rivalités exacerbées.

En Europe, dans le Sud-Ouest asiatique et en Amérique du Nord particulièrement, une baisse de l’offre d’héroïne a également été rapportée, avec un risque croissant de surdose et de partage des équipements d’injection, vecteurs de contaminations virales.

Les mesures mises en œuvre par les gouvernements pour endiguer la pandémie de COVID-19 ont entraîné une perturbation des routes de trafic aérien de drogues, ainsi qu'une réduction drastique des transports terrestres, selon un nouveau rapport du Bureau des Nations Unies contre Drogues et criminalité.

Covid-19 et crime organisé

L'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime a lancé un programme de formation pour les forces de sécurité chargées des douanes en Amérique latine.

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Publié dans #Drogue, #Coronavirus, #Maroc, #Covid-19, #crime organisé, #Belgique, #2020

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