coronavirus

Publié le 6 Avril 2020


L'air est plus pur dans les pays mis en quarantaine par le coronavirus.

Quel que soit l'impact final de cette crise, quelque chose de positif est clair: réduire l'empreinte carbone est possible, transformer notre mode de vie et son impact environnemental est non seulement réalisable, mais peut l'être en peu de temps grâce à une action mondiale...

Le degré élevé de propagation a imposé des mesures extrêmes et dans de nombreux pays, des quarantaines ont été imposées et la circulation des personnes et leur exposition ont été considérablement limitées. C'est le seul moyen d'abaisser la courbe de contagion qui, si elle est massive, peut effondrer les systèmes de santé, aussi avancés soient-ils, comme c'est le cas en Italie.

L'humanité a été confrontée à un défi sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale. Le coronavirus a un impact direct sur notre mode de vie et entraîne l'humanité dans une crise économique , ce qui montre que les programmes actuels sont non seulement vulnérables, mais finalement non durables.

La panique autour du coronavirus et la réponse collective à cette pandémie pourraient servir à illustrer ce que nous pouvons tous réaliser si nous prenons conscience que le changement climatique est une réalité qui tue plus de personnes chaque année que ce nouveau virus.

Mais il y a aussi d'autres éléments négatifs au détriment de la planète qui pourraient augmenter au cours de ces jours de quarantaine où elle lutte contre la pandémie du nouveau pathogène de la famille des coronavirus. Un exemple en est les déchets hospitaliers, qui augmentent dans toutes les régions du monde.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Environnement, #Coronavirus, #2020

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Publié le 5 Avril 2020

Chauve-souris et pangolin ne sont pas les seuls animaux à qui on attribue une responsabilité dans la pandémie de coronavirus. Des yeux suspicieux se tournent aussi en direction de la transmission par insectes.

En biologie, un vecteur est un organisme invertébré qui peut transmettre des agents pathogènes ou des parasites d'un hôte (animal ou plante) à un autre. Les maladies à transmission vectorielle sont des maladies infectieuses transmises par des vecteurs, essentiellement insectes et acariens hématophages. La dengue est un virus transmis par la piqûre d'un moustique femelle, a longtemps été considérée comme une maladie tropicale. 

Le vecteur n'est donc pas lui-même l'agent causal des maladies, mais assure la transmission de l'organisme pathogène. Le vecteur lui-même n'a pas besoin d'être infecté par ces agents pathogènes, mais c'est possible: dans ce cas, le vecteur est l'hôte ou l' hôte intermédiaire du parasite.

On appelle "réservoir" une espèce animale ou végétale qui est porteuse de l'agent pathogène d'une maladie et permet ainsi aux insectes vecteurs de se contaminer en dehors de l'hôte principal.

Même si la voie la plus fréquente de pénétration de la maladie est l’introduction d’animaux infectés, de nombreuses autres possibilités existent. Les insectes, et plus particulièrement les mouches, en sont un élément qu’il ne faut pas négliger. On a montré qu’elles peuvent voyager sur une distance de 1,5 kilomètres et transporter certains germes  (bactéries, virus, parasites) infectieux.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Covid19, #Coronavirus

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Publié le 3 Avril 2020

«Je vais résister», l'hymne de la résistance et de l'espoir contre le coronavirus.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Resistiré, #Dúo dinámico, #Coronavirus, #Resistiré2020, #Cover, #Smule, #Rock en espagnol

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