Hôtel Ibis Marrakech Centre Gare : Un Tricatel à ne pas recommander
Publié le 16 Août 2012
Marrakech est une ville qui offre certes des palaces et des riads somptueux. Le tourisme n'est pas à son top et pourtant, Ibis (groupe Accor) se fout de la gueule de sa clientèle !
Ce qui fait honte au domaine hôtelier, c'est cet hôtel de chaîne française ACCOR. Un client écrivait à ce propos : Pour un hôtel IBIS nous avions vraiment du bas de gamme. Dans la salle de bains; le strict minimum, même pas de tapis de sol, il a fallu réclamer des serviettes de toilettes !!!
Au niveau propreté, il ne fallait pas regarder de près la moquette des chambres ! Le bâtiment est par ailleurs en très mauvais état et le restaurant à déconseiller ! En effet : le tajine de poulet nage dans un liquide et sa cuisson a été fait dans le four à micro onde.. les légumes sont cuits à part, ensuite lors de la commande le cuisinier réunis l'ensemble des ingrédients et réchauffés le tout ! insipide et poulet sec au goût de poisson ne vous donne pas du tout envie de déguster le plat.
Ceci n'est pas un île flottante !
Ce n'est pas le seul avis négatif discréditant ce taudis hôtelier, un autre s'exprime : Je suis allé au bar de la piscine pour avoir un coca,...plus de coca depuis trois jours et ceux qui sont au frigo sont périmés...et mentionne la démotivation totale du personnel le garçon ajoute qu il travaille depuis 20 jours et que rien ne va et souhaite quitter au plus vite!
Ce n'est pas tout ! Ce qui est censé être un hôtel déçoit encore un troisième client L'hôtel, le restaurant et la piscine exterieure sont OK. Par contre, lorsque nous sommes arrivés dans notre chambre, les draps n'avaient pas été changés alors que la chambre était censée etre faite. Je trouve cela vraiment décevant (et dégoutant !) de la part d'un hotel qui fait partie d'un grand groupe. Une chose est sure, nous n'y metterons plus les pieds !
La cuisine est digne d'un Tricatel : marque utilisée par Claude Zidi dans son film L'Aile ou la Cuisse pour la chaîne de restauration, cible des foudres de Louis de Funès.
Sans parler de l'état des sanitaires...