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La musique pour la construction du dialogue interculturel, la Fraternité et la Paix.
/image%2F1043068%2F20190613%2Fob_027ab2_last-night-in-orient-1.png "La musique pour la construction du dialogue interculturel, la Fraternité et la Paix.")
Publié le 19 Mai 2021
Publié le 19 Mai 2021
It’s A Sin en reprise pour lutter contre le sida. Il y a des chansons qui transcendent les générations et les styles pour devenir des classiques authentiques. C'est ce qui se passe avec It's a Sin , la chanson que Neil Tennant a écrite pour remettre en question son éducation religieuse et publiée avec Pet Shop Boys en 1987. Maintenant, le britannique Elton John a rejoint Olly Alexander, le chanteur de Years & Years, pour la reprendre et créer un thème avec le même esprit que l'original.
Olly Alexander, de son vrai nom Oliver Alexander Thornton, né le 15 juillet 1990, est un musicien, auteur-compositeur-interprète et acteur britannique, défenseur des droits LGBT. Il est le chanteur du trio de synthpop Years and Years.
Olly Alexander fait ouvertement référence à sa sexualité dans les œuvres qu'il compose et regrette qu'il n'y ait pas davantage de chanteurs gays qui utilisent le pronom masculin dans leurs chansons. Elton John et Years & Years ont publié cette version de It’s A Sin, l’un des premiers succès des Pet Shop Boys dans les années 1980, dans la foulée de leur performance à la remise des Brit Awards.
Les revenus récoltés par la chanson seront remis à la Elton John AIDS Foundation, qui lutte contre le sida.
La surprise a été rendue publique lors des BRIT Awards. Là, il était possible de voir les deux artistes interpréter cette chanson en direct.
Le chanteur de Years & Years est apparu allongé sur le piano de son partenaire de scène, pour commencer avec un format musical de ballade nostalgique. Du coup, le style de la chanson change et devient complètement électronique et viral, avec une chorégraphie énergique qui a abouti à une belle performance.
Ce n'est pas par hasard que le thème a été choisi pour lui donner une nouvelle vie. En fait, C'est aussi le titre de la dernière série Max créée par Russell T. Davies pour HBO dans laquelle Olly Alexander tient un rôle principal. La fiction suit l'histoire de plusieurs jeunes à Londres dans les années 1980, lorsqu'ils commencent à se relier au milieu du grave fléau du VIH qui a fait des ravages et tant de morts.
Publié le 19 Mai 2021
Une exposition sur l'esclavage. Pas comme un concept abstrait, mais sous la forme d'histoires personnelles et vraies.
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Diorama of a Du, Dance Celebration on the Plantation, Gerrit Schouten, 1830
Pour la première fois, nous tournons notre attention vers l'esclavage pendant la période coloniale néerlandaise. Une période de 250 ans qui fait partie intégrante de l'histoire du pays. Une période où les gens devenaient des biens et des objets dans les administrations.
L'exposition raconte dix histoires vraies de personnes qui y ont participé. Dix histoires personnelles sur des personnes qui, par exemple, étaient esclaves ou étaient propriétaires d'esclaves. Ou des gens qui résistent et des gens qui ont été emmenés aux Pays-Bas en esclavage. Comment étaient leurs vies? Comment se rapportaient-ils au système d'esclavage? Pourraient-ils faire leurs propres choix?
L'exposition présente des objets provenant de musées nationaux et internationaux, d'archives et de collections privées. En plus des objets, des peintures et des documents, L'exposition couvre la période coloniale néerlandaise du 17e au 19e siècle. L'esclavage au Suriname, au Brésil et dans les Caraïbes (transatlantique), avec le rôle de la Compagnie des Indes occidentales (WIC), ainsi que l'esclavage colonial néerlandais en Afrique du Sud et en Asie où la Compagnie néerlandaise des Indes orientales,
