Quand Amnesty international devient une caisse de résonance des islamistes !

Publié le 27 Juillet 2010

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Achraf Kammoun : Quand Amnsesty international devient une caisse de résonance des islamistes!

mercredi 14 juillet 2010, à 11:14
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Des voix indépendantes réduites au silence. Selon Amnesty, «les autorités tunisiennes doivent mettre fin aux manœuvres de subversion qui consistent à infiltrer Les autorités tunisiennes doivent mettre fin aux manœuvres de subversion qui consistent à infiltrer et semer le trouble au sein des organisations de défense des droits humains et des groupes dissidents ». Amnesty cite trois organisations non gouvernementales «subverties» (sic). Il s’agit de la Ligue Tunisienne des droits de l’homme, de l’Association des magistrats tunisiens et du Syndicat national des journalistes tunisiens. Amnesty international n’a pas manqué de revenir de manière négative sur l’article 61 bis du code pénal relatif à la sécurité économique et aux intérêts vitaux de la Tunisie. 
Cohérente dans sa logique d’acharnement contre la Tunisie, cette organisation qui ne cesse de relayer les thèses et le discours des islamistes donne ainsi une image tout à fait contraire à la réalité du pays, continue de confondre évaluation de la situation des droits de l’homme avec dévalorisation complète des acquis en la matière. C’est le propre des «rapports» d’Amnesty caractérisés par leur ton polémique et aucunement par leur démarche analytique. 

Le discours d’Amnesty international sur la situation des droits de l’homme est une copie conforme du discours développé par la nébuleuse trotskiste et la myriade pseudo-écologisante du Parlement européen. C’est-à-dire le discours des Harlem Désir, Daniel Cohen-Bendit, Hélène Flautre préoccupés «par la situation qui prévaut dans un pays lié à l’Union européenne par un accord d’association». Les mêmes clichés, la même pauvreté intellectuelle, les mêmes propos tendancieux, les mêmes images mystifiées, la même falsification des faits, la même absence constante de nouvelles idées, de propositions constructives,de pertinence, de réalité objective et enfin d’objectivité. Le champ discursif se contente de slogans, de phraséologie creuse, d'affirmations gratuites, de masturbation intellectuelle, et de l'excitation des sentiments et de la libido populaire. 

Mme Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International qui vient de présenter le rapport sur la Tunisie, doit savoir que cette cynique stratégie d’Amnesty ne peut pas marcher dans le contexte tunisien. Parce ce que les Tunisiens ont suffisamment payé cher le prix de la stabilité et de la sécurité dans le pays, pour refuser catégoriquement et fermement tous les agitateurs agités et leurs complices à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
Les Tunisiens savent pertinemment que tout n’est pas parfait en Tunisie. Mais ils savent, également, que l’avènement d’une Tunisie où les Tunisiens seront libres de parler et de croire, libérés de la misère, de la terreur, du terrorisme et de la criminalité, est une œuvre de longue haleine souvent proclamée par le Président Zine El Abidine Ben Ali et par toutes les forces vives qui luttent contre le « projet » des terroristes comme la plus haute aspiration de l’homme tunisien. Les Tunisiens savent, enfin, que cette œuvre appelle la plus grande vigilance citoyenne et patriotique. 
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Amnesty International avoue son amour pour la guerre sainte islamique 

 

Un indicateur de bonheur pour la Tunisie de Ben Ali

Dans ces temps de mondialisation tout est chiffrable même le bonheur. Et oui un indice du bonheur ça existe, c’est la revue Globeco qui établi annuellement un classement mondial du bonheur. En effet, la revue vient de publier le classement  2009-2010 qui concerne  60 pays  dont la Tunisie, qui fait mieux en 2010 en se positionnant  36ème contre la  38ème place au classement de l'an dernier qui établi que la Tunisie est la plus heureuse de toute l’Afrique, elle est talonnée par l’Afrique du Sud (38ème). 

Pour établir ce classement, la revue se base sur plusieurs  critères dont paix et sécurité, qualité de la vie, liberté et droits de l’homme, recherche et développement, formationcommunication, espérance de vie, suicide, PIB par habitant et  pureté de l’air


Top 10 mondial
  • 1. Suède
  • 2. Norvège
  • 3. Danemark
  • 4. Pays-Bas
  • 5. Finlande
  • 6. Canada
  • 7. Australie
  • 8. Allemagne
  • 9. Suisse
  • 10. Irlande

Ceux qui sont toujours les premiers à véhiculer les idées reçues sur la Tunisie ne se doutent pas que la classe moyenne représente dans ce pays un peu plus de 70 % de la population, et que la pauvreté est tombée de 35 % à 4 % depuis la fin des années 1980. 

En outre, la Tunisie a clairement choisi son camp dans la lutte contre l'intégrisme religieux. Le régime est intransigeant vis-à-vis de tout embryon de prosélytisme islamiste, mais mène parallèlement à sa politique répressive une vaste campagne de pédagogie, appuyée sur une pratique sereine et modérée de la religion. C'est pour cette raison que le pays constitue véritablement un rempart contre la déferlante intégriste dans la région ; c'est pour cette raison également que la Tunisie est un enjeu crucial, et une cible de choix pour l'islamisme et le terrorisme. Si elle venait à tomber, il faudrait craindre à nouveau pour l'Algérie, mais également le Maroc, la Libye et peut-être même l'Égypte, tous menacés par un effet de dominos. (source)


Dîner d'Etat offert par M. Zine El Abidine Ben Ali
La visite inopinée du Président Zine El Abidine Ben Ali le 4 décembre 1992 à Zouakra et à Barrama, deux localités pauvres situées dans une zone enclavée du centre de la Tunisie démontre l'engagement du Chef de l'Etat en faveur d'une politique d'équité et de justice sociale et qui place l'humain au centre de tous les choix. Cette visite a été suivie par un ensemble de mesures historiques en faveur des couches sociales économiquement faible dont la création du fonds de solidarité nationale à travers les mécanismes duquel la Tunisie est parvenue à éradiquer tous les foyers de pauvreté et de précarité dans ces zones. Cette politique est érigée aujourd'hui en exemple à travers le monde. Dans cette vidéo le Président Ben Ali déplore les conditions précaires des élèves d'une école primaire située dans cette zone. Aprés cette visite les élèves et les habitants ont retouvé la joie et le sourire. Leur vie a completement changé et la précarité n'est plus qu'un lointain souvenir.

Le Président Ben Ali veille à ce que tous les Tunisiens jouissent des attributs de la dignité dans une société solidaire et interdépendante. 
La Tunisie est un pays où les droits de l'homme sont en constante promotion selon une acception globale incluant les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels. 
Le droit à la santé est une réalité tangible en Tunisie. En témoignent, entre autres, les infrastructures hospitalières modernes couvrant l'ensemble du pays, l'accès de tous les Tunisiens au système de santé grâce aux différentes réformes entreprises depuis le Changement de 1987. Des centaines de milliers d'étrangers, y compris des européens, se rendent chaque année en Tunisie pour se faire soigner. La chirurgie esthétique et le tourisme médical sont en plein essor en Tunisie.

 

La politique mise en œuvre par le Président tunisien Zine El-Abidine Ben Ali a permis d'enregistrer des avancées majeures en matière de démocratie et de respect des droits de l'homme. Le pluralisme et le multipartisme sont aujourd'hui une réalité qui traduit une ferme détermination à consolider cette orientation qui constitue pour la Tunisie moderne un choix irréversible.

Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Tunisie

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H
<br /> c'est un president qui reussit et ns avons grand besoin d'avoir un homme comme lui ds ces temps difficiles il faut pas se leurer il ya une crise economique qui touche beaucoup de pays et la tunisie<br /> s'en sort ...<br /> <br /> <br />
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K
<br /> En concrétisation des valeurs de solidarité et d’entraide prônées par l’Islam et consacrées par le Président Ben Ali, le Centre national de transfusion sanguine vient d’organiser une campagne de<br /> don de sang à l’occasion du mois de Ramadan.<br /> <br /> Cette initiative unique en son genre, qui se tient pour la troisième année consécutive, est menée par le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) en collaboration avec le ministère des<br /> Affaires religieuses et le Croissant Rouge tunisien.<br /> <br /> Il était environ 22h00 à la mosquée Malek Ibn Anas à Al Madina Al Jadida (Ben Arous). Une tente bien installée, équipée de nombreuses couchettes et de matériel médical stérilisé. Toute une équipe<br /> de médecins, d’infirmiers et de volontaires est mobilisée pour persuader le nombreux public présent de se prêter au geste de générosité et contribuer ainsi à la réussite de cette campagne dans les<br /> meilleures conditions.<br /> <br /> Hommes, femmes et jeunes ont répondu présents à l’appel du devoir, incités par une grande générosité, un sens avéré de la solidarité voire un attachement à aider l’autre. Ils se sont rassemblés<br /> devant la tente pour donner un peu de leur sang et sauver des vies.<br /> <br /> Certes, le choix de ce mois saint et particulièrement la prière des Tarawih ne sont aucunement fortuit. «L’été et le mois de Ramadan sont deux périodes pénibles au cours desquelles on souffre<br /> généralement d’un déficit du stock de sang. C’est pourquoi on a profité cette année de la concomitance de ces deux événements pour sensibiliser davantage les gens quant à l’importance de cette<br /> action humanitaire», explique Dr Emna Gouider, directrice générale du Centre national de transfusion sanguine.<br /> <br /> Et d’ajouter: «Je tiens à remercier le ministère des Affaires religieuses pour sa sollicitude et son appel lancé aux Imams prédicateurs en vue de promouvoir le discours religieux pour qu’il<br /> contribue à la sensibilisation des fidèles à l’importance de cette si noble manifestation au profit des patients dans les divers hôpitaux du pays».<br /> <br /> Cette initiative humanitaire concerne, cette année, vingt-quatre mosquées réparties sur les différents gouvernorats du Grand-Tunis y compris L’Ariana, Tunis, Ben Arous et La Manouba.<br /> <br /> «Chaque prélèvement est précédé d’un examen prudent du donneur dont le test sanguin et le dépistage sérologique des maladies transmissibles par le sang à la lumlière desquels on décide de<br /> poursuivre l’opération du don ou non et ce, pour assurer la sécurité transfusionnelle et le bon état de santé du donateur», explique Dr Mondher Jendoubi, médecin principal de la Santé publique.<br /> <br /> Tout bienfaiteur, a-t-il ajouté, aura une carte donneur qui lui permettra de bénéficier prioritairement de sang en cas d’urgence que ce soit pour lui ou pour l’un de ses proches.<br /> <br /> Concernant le nombre de poches collectées quotidiennement durant la campagne organisée en ce mois saint, Dr Jendoubi a souligné qu’il varie entre 20 et 73 poches par jour et qu’il diffère d’une<br /> région à l’autre.<br /> Un avis illustré par Dr Haykel Jmii, surveillant de service qui a affirmé qu’à titre d’exemple le nombre de donneurs à L’Ariana a atteint 78 et que le nombre total des poches collectées jusqu’à la<br /> mi-Ramadan est estimé à 500 sacs.<br /> <br /> «Dans le but d’ancrer la culture du don du sang et mobiliser davantage les gens autour d’un don souvent synonyme de vie, les donneurs fidèles reçoivent des médailles d’honneur de différents types,<br /> en fonction du nombre de dons qu’ils font, à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de don du sang le 8 avril de chaque année», ajoute Dr Jmii<br /> <br /> Il y a lieu de mentionner qu’il y a eu un éveil incontestable dans l’esprit des Tunisiens qui adhèrent de plus en plus à cet acte volontaire à but caritatif.<br /> «Le don de sang équivaut au don de la vie. En fait, c’est un acte volontaire et altruiste de personnes soucieuses de sauver les patients qui ont besoin de cette goutte précieuse. On donne notre<br /> sang par amour pour les autres», exprime M. Imed Markich, agent de protection civile et donateur fidèle.<br /> Et de renchérir: «Personnellement, j’ai vécu une situation grave, l’un de mes proches avait besoin de sang et il a été sauvé grâce à de généreux donneurs, c’est pour cela qu’à partir de ce jour-là<br /> j’ai pris la résolution d’être un bienfaiteur fidèle. J’aurais peut-être un jour besoin du sang que je donne aujourd’hui».<br /> Avis partagé par Amine Hammami, un jeune donateur, qui a valorisé ce geste humanitaire: «Le don de sang est un acte noble et volontaire de solidarité envers chaque personne. Il est simple, ne<br /> comporte aucun risque et peut sauver la vie des patients qui manquent de sang pour des raisons de maladies ou d’hémorragie due notamment, aux accidents».<br /> La générosité et la charité du Tunisien sont certes une vertu personnelle mais que peut-on dire quand elles deviennent une culture ancrée chez tous les membres de la famille, tel est le cas de Mme<br /> Saloua Ferchichi qui est venue avec son époux pour faire don de leur sang: «C’est la moindre des choses qu’on peut faire, en particulier pendant Ramadan, le mois où on cherche par tous les moyens à<br /> plaire à Dieu et à se rapprocher de Lui et de sa Miséricorde».<br /> Rappelons qu’en 2009 le CNTS a enregistré 181.426 poches de sang contre 172.508 en 2008 mais l’objectif à atteindre en sang est estimé à 200.000 poches par an. Ce besoin peut être satisfait si<br /> chaque Tunisien âgé entre 18 ans et 65 ans donne son sang au moins une fois par an. Reste que cela est essentiellement tributaire de la volonté et de la conscience des gens.<br /> <br /> http://www.lerenouveau.com.tn/index.php?option=com_content&task=view&id=21849&Itemid=28<br /> <br /> <br />
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Z
<br /> JOYEUX ANNIVERSAIRE M. LE PRÉSIDENT. QUE DIEU LE TOUT PUISSANT SOIT AVEC VOUS POUR ACCOMPLIR , AU MIEUX, VOTRE NOBLE MISSION.<br /> WA KOL AM WA ANTOM, WA TOUNES, FI ALF KHAIR.<br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
B
<br /> avec vous la tunisie vit toujours les succés. Nous vous prions de continuer. Nous sommes fidelles à vous à vie. que vous soyez protegé...<br /> <br /> <br />
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F
<br /> Frank Johansson, le président de la section finlandaise d'Amnesty International a écrit sur son blog hébergé par le tabloïde Iltalehti qu'Israël est un État racaille (a scum state).<br /> <br /> "Un de mes amis qui travaille en Israël était en visite, et pendant qu'ill empilait du bois dans le hangar, il a abordé son sujet favori. Après plusieurs années passées dans le pays saint, il est<br /> arrivé à la conclusion qu'Israël est un état "racaille". Sur la base de mes propres visites, qui ont eu lieu entre les années 1970 et 1990 pour la dernière fois, je suis d'accord. "<br /> <br /> Donc, ce militant des "droits humains" qui préside la branche finlandaise d'AI, qui est censée être une ONG non-partisane, a traité Israël de ... racaille. Oserait-il écrire publiquement la même<br /> chose sur l'Arabie Saoudite ou n'importe quel autre pays musulman ?<br /> <br /> Source: Tundra Tabloids (Chairman of Finnish Amnesty<br /> <br /> <br />
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